Probablement parce qu'il sont pris à la gorge par le manque de revenus, bien des journaux auraient tendance à s’abandonner au sensationnalisme dans l'espoir d'arracher à Facebook quelques lecteurs. C’est ce que suggère un article du Courrier International qui titrait : «  Médias. Après la révélation choc de Kate Middleton, la presse américaine fait son examen de conscience. Les nombreuses rumeurs sur la princesse de Galles se sont révélées êtres des théories du complot, dans lesquelles trop de médias américains se sont engouffrés, jugent un certain nombre de journalistes agacés qu’on s’en soit pris à une mère de famille malade ».

Cet article rejoint l’esprit d’un commentaire lu au bas d’un article du Devoir : « Si on assiste à "une crise de confiance envers les médias", c’est que ces derniers sont médiocres, orientés et allergiques à la moindre remise en question ».